Depuis vendredi dernier, je suis en partance (plus précisément en errance en ce moment), pour une destination imprévue, imprévisible et que je n'ai pas choisi(alors que je viens de m'asseoir très copieusement sur une semaine en Dordogne.Moins exotique, mais ça aurait été tellement plus fun...). Ca devrait être un voyage avec correspondances, lesquelles me sont, elles aussi inconnues. L'avantage de ce voyage, c'est que nul n'est besoin de grosse valise, accessoires en tous genres pour se protéger du soleil comme le laisserait à penser le titre de ce billet. Je trimballe tout avec moi. Disons même, en moi, comme un alien.
Le tour opérator quelque peu lent, tarde un peu à me contacter pour me donner des précisions quant à l'organisation. Ce qui commence à m'irriter passablement. Ce matin, en allant à la poste, j'ai croisé le facteur dans sa tournée. J'ai eu une violente envie de lui vider sa sacoche de vélo pour voir si une lettre ne m'était pas adressée. J'étais à deux doigts de lui demander. Mais je me suis ravisée en me disant que je l'aurai, en revenant de toute façon. Mais une fois encore, la boite aux lettres était vide.
Putain déjà que c'est pas la joie, et il faudra encore patienter... Tic tac, TIc TAc, TIC TAC.
Demain est un autre jour.
1 commentaire:
Je sais c'est pas vraiment le sujet mais putain que tu écris bien!!
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